Lucien Jerphagnon sur Duns Scot
Doctor subtilis : ce surnom, amplement mérité, (…) décourage une fois de plus l’exposé détaillé de ses thèses. Aujourd’hui encore, où son école poursuit sa carrière en milieu franciscain, les théories scotistes, par leur aspect quintessencié, ne laissent jamais le lecteur très sûr d’avoir compris.
(Lucien Jerphagnon, Histoire de la pensée D'Homère à Jeanne d'Arc, 2009, p. 490)
